top of page

HISTOIRE

L’Église protestante unie dans l’histoire du protestantisme (suite) 

Le protestantisme contemporain se diversifie

En France, les deux tiers de ses Églises et mouvements sont membres de la Fédération protestante de France, dont l’Église protestante unie fut cofondatrice (en 1905) et dont elle est la première Église en nombre de membres.


Le protestantisme évangélique (baptistes, pentecôtistes, etc.) est en croissance, en particulier grâce aux protestants venus d’outre-mer et de pays du Sud. Le protestantisme luthérien et réformé se renouvelle : la création de l’Église protestante unie en 2012 en témoigne.

 

Une Union respectueuse de la diversité


L’Église protestante unie de France a été construite au travers d’un processus de cinq années. Elle était déjà partiellement vécue, en particulier au travers de la formation commune des pasteurs (depuis 1969) et de la possibilité d’exercer le ministère pastoral dans l’une ou l’autre Église.

L’Église protestante unie prend en compte le plus largement possible la diversité (théologique, ecclésiale, liturgique) existant dans les deux Églises, avec la volonté de s’en enrichir et, sur cette diversité, de proposer à la société un témoignage commun.


L’organisation en régions est maintenue, sans bouleversement de fonctionnement. La totalité des Églises locales, paroisses accepte d’entrer dans l’Union, une originalité à une époque où le religieux vit plutôt des éclatements et des séparations identitaires.


L’Église protestante unie de France constitue une base ouverte à des développements futurs et se veut ouverte à d’autres Églises de la Réforme.


À travers l’union entre luthériens et réformés, l’Église protestante unie témoigne qu’il est possible de vivre l’unité dans la diversité et le pluralisme.

bottom of page